D’autres organisations qui s’intéressent aux véhicules historiques participent également à ces réunions. Dolf Willigers, de la FEMA, était également présent, car de nombreux motocyclistes possèdent une ou plusieurs motocyclettes historiques à côté de la moto et / ou de la voiture qu’ils utilisent tous les jours.
Pour préserver notre patrimoine culturel, il faut que les circonstances le permettent : des pièces et du carburant de bonne qualité doivent être disponibles. Pour qu’un véhicule puisse rester dans son état d’origine, son propriétaire doit pouvoir l’utiliser, ce qui signifie que les villes doivent être accessibles aux propriétaires de véhicules historiques, et ce malgré les différentes zones de basses émissions (Low Emission Zones-LEZ). La propriété et l’utilisation de véhicules historiques doivent être abordables : absence de taxes inutiles ou de taxation disproportionnée de la pollution supposée, etc. Enfin, les connaissances techniques nécessaires pour réparer et entretenir ces véhicules doivent être préservées.
Les motos font partie du patrimoine culturel mondial, tout comme les voitures, les poids-lourds, les véhicules agricoles, etc. En fait, ils font partie d’un patrimoine culturel beaucoup plus large, qui contient non seulement des véhicules, mais aussi des navires, des trains, des routes, des bâtiments et même des paysages. Le meilleur moyen de les préserver est de les utiliser. Pas nécessairement tous les jours, mais pour conserver une moto, vous devez la faire tourner de temps en temps.
L’EPHVG a été fondée pour rendre cela possible pour tous les véhicules historiques et les promotionner. Elle recherchera des alliances avec d’autres groupes de préservation du patrimoine culturel. La FEMA est heureuse et fière d’en faire partie et continuera à se battre pour la préservation et l’utilisation des motos anciennes.