Si les motards de 1980, tout comme ceux du début de ce XXIe siècle, sont et restent en colère, ils ne sont pas enfermés dans une colère vaine ou paralysante. Cette colère, depuis plus de 40 ans, est le moteur de la FFMC dans toutes ses actions revendicatives : contre le coût des assurances, les vols de motos, la dégradation des infrastructures, la société de surveillance, etc.
La FFMC reste en colère contre les mesures arbitraires, électoralistes ou discriminatoires qui sont prises contre l’intérêt général (gestion des autoroutes, TVA sur les équipements de sécurité, formation au permis de conduire, etc.) et contre la perte de liberté des citoyens que nous sommes tous (loi surveillance, loi renseignement, fichier TES - titres électroniques sécurisés -, etc.)