Communiqué de presse FFMC du 10 janvier 2019
Face à la crise des « gilets jaunes » et aux manifestations qui s’enchainent depuis deux mois, le gouvernement envisage de renforcer la répression administrative et judiciaire : en d’autres termes, la réponse apportée aux demandes populaires pour plus de démocratie et plus de justice sociale risque de se traduire par une nouvelle surenchère sécuritaire. Les citoyens demandent d’abord d’être entendus et compris de ceux qui prétendent diriger notre pays.
En solidarité avec Amnesty international et la Ligue des Droits de l’Homme, la Fédération française des motards en colère dénonce cette dérive sécuritaire.